Geco, Flash defence, Concorde Defender, Wadie, Umarex, Armruerie Auxerre, Walther, Colombi Sports, Fiocchi, Sellier Bellot, Verney-Carron, Humbert, Nobel Sport, 12/50, CBP 50, HDR 50, CS, 9mm RK, 9mm PAK, 12/67, 12/70, 16/67, 12/50, QAB 50, QAB68, T4E, cal. 43, cal. 68, 6mm Flobert, 12/67.5, Super Flash, Rubber Ball, Razorgun, Titan perfecta, defend-ball, flash-ball, 44/83, chevrotine, Impact, 22LR, 22Long K,
Les munitions à balles caoutchouc prennent parfois le nom de cartouches à létalité réduite ou à létalité atténuée. On distinguera les billes de caoutchouc employées seules depuis un lanceur (blackball .43 pour l’Umarex T4E, Rubberball .50 pour l’HDR 50, Rubber-Steel balls .68 pour le Walther SG68…) des munitions pyrotechniques contenant elles-mêmes leur charge propulsive (munition de défense "à feu"). A ce second chapitre, on trouvera non seulement des cartouches pour des armes spécifiquement défensives de catégorie C3 (calibre 44/83 du flash ball Verney Caron, cartouches 12/50 des GC27 et GC54 SAPL, munitions Soft-Gomm calibre 8.8x10, barillets préchargés du revolver Safegom…) mais aussi de la cartouche de calibre 12 voir de la cartouche calibre 16 pour de vrais fusils. Là encore, on retrouve des spécialistes du genre comme SAPL et sa cartouche Gomm cogne, souvent mal orthographiée "cartouche gomme cogne" (gare aux nouvelles longue distance en 12/70), et de grands noms internationaux plus généralistes. Côté projectiles, on ira de la simple balle monolithique (sphérique ou non) aux projectiles multiples (chevrotines caoutchouc) en passant par des exotismes comme les Rubber 2 balls de Sellier & Bellot ou le diabolo en élastomère de Jocker. A noter enfin que pour les traditionnalistes, Jocker produit toujours des cartouches gros sel en calibre 12.